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S’occuper du sol, c’est le travail même du jardinier avant même de semer. Il s’agit avant tout d’en savoir plus sur la stratification de la terre afin de l’enrichir en cas de besoin : le sol sera argileux, calcaire, sableux ou encore humifère. Les besoins diffèrent selon sa nature. En cas de doute, vous pouvez faire examiner un échantillon de terre auprès d’un laboratoire d’analyses. l’idéal serait finalement de s’approcher de la composition suivante : 60 % sable, vingt pour cent argile, 10 % calcaire et 10 % humus. En effet la terre doit rester de qualité supérieur pour être fertile, et il sera judicieux de l’enrichir en y procurant ponctuellement du compost, du fumier, de la tourbe ou du terreau. La quantité nécessaire à l’amendement dépendra correctement de la nature du sol et de ses plantations, certaines étant plus exigeantes que d’autres. Les bases du jardinage passent à chaque fois par le sol, mais la terre ne suffit pas, il faudra de même laver le jardin, l’aérer, le bêcher mais sans pour autant retourner la terre afin de ne pas la déséquilibrer. Après avoir ôté la mauvaise herbe, c’est une phase importante pour faciliter la circulation de l’eau dans un arbre creux. le plus simple sera de le faire deux fois, ainsi la terre sera mieux amendée, drainée, plus souple et les plants prendront alors plus facilement racine. Entre chaque étape, laissez un temps de repos à la terre.

Sais-tu que le jardinage a des intérêts surprenants, particulièrement sur la forme ? En plus de nous faire prendre de l’air, mettre les mains dans la terre offre une ornée de sérotonine, un antidépresseur naturel produit par nos neurones. Et si jardiner est bon pour le moral, il est tout aussi bénéfique pour le climat ! On t’explique pourquoi et on t’indique quelques réflexes à choisir maintenant pour te faire du bien à toi… ainsi qu’à la planète ! Un potager , ce n’est pas qu’une idée de légumes ! Tu peux y planter aussi des fleurs indigènes, comme l’asclépiade ou l’amélanchier, qui participent à préserver la biodiversité tout en augmentant la résilience des écosystèmes. Certaines fleurs ne peuvent se reproduire sans l’intervention d’un pollinisateur ( animaux, chauves-souris ou oiseaux ), elles ont donc besoin d’un milieu de vie qui leur est favorable. Autrement dit, planter un peu de tout aide ton jardin à faire face aux changements climatiques avec touffue ! Étiez-vous le type d’enfant à refiler vos petits pois à votre chien sous la table ? À simuler un mal de ventre chaque fois qu’on vous servait des choux de Bruxelles ? À commander une salade avec extra vinaigrette et sans laitue ? Si le simple fait de vieillir n’a pas changé vos sentiments face aux légumes, les faire pousser vous-même pourrait vous y amener. Une revue d’études publiée en 2017 dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics a révélé que les petits qui avaient été initiés au jardinage mangeaient plus de fruits et de légumes.

Faire une activité en plein air assure de la détente et du confort, rares sont ceux qui n’aiment pas faire bronzette et se baigner à la l’eau ! Pratiquer le jardinage permet de prendre une dose de tous les jours de vitamine D et de profiter du soleil. Bref, le jardinage c’est bien car on peut bénéficier de l’extérieur et s’oxygéner l’air frais tout en pratiquant une activité physique. Cette activité botanique très prisée par les français, engendre une satisfaction personnelle. En effet, le jardinier en herbe ressent une satisfaction personnelle à faire pousser ses propres fleurs, c’est une belle réussite. Voir les jeunes pousses sortir de terre et les savourer quelques semaines plus tard dans son assiette, ça c’est une belle victoire favorisant le climat. Et et ensuite, plus l’on jardine, plus l’on a d’imagination et plus la créativité se développe. Eh oui, le jardinage peut aussi être une activité artistique. Pratiquer le jardinage, c’est aussi entretenir sa forme. Le jardinage, la tonte, la taille, l’arrosage, le potager sont autant de déplacements physiques, qui sollicitent le corps entier. En luttant contre le surpoids, les jardiniers entretiennent leur muscle mais se renforcent à tous moments les articulations et l’ossature. Selon des chercheurs britanniques, il suffirait de 30 minutes par semaine pour entretenir son corps.

si vous êtes adepte du jardinage, vous l’aurez sans doute remarqué, dans un jardin, on se sent vite bien, apaisé. Et avec une bêche à la main, on oublie les soucis du quotidien pour se focaliser sur son métier. Une étude britanique menée auprès d’une population en bonne santé, jardinant dans les espaces vert partagés pour le plaisir a par ailleurs montré qu’une simple séance de jardin permet d’améliorer la confiance en soi, l’humeur, l’anxiété et l’anxiété. Il conclut même que les organismes de santé publique devraient encourager les britanniques à jardiner. Il suggère de fournir à chaque occupant une zone sur laquelle il pourrait avoir une pratique régulière de jardin en prévention de maladie. lorsque l’on jardine dans un jardin partagé, on appartient à un groupe. On discute avec ses co-jardiniers ou avec les le public qui passent dans la rue et posent des questions. On s’entraide, on échange des conseils. « Rendre son cadre plus beau offre le sentiment de posséder une utilité sociale. On s’engage dans un projet qui rend son quartier plus agréable à vivre, plus désirable, qui apporte à tout le monde. Psychologiquement, cela redonne de la confiance en soi«, explique Isabelle Boucq présidente de la Fédération française espaces vert nature et santé et auteure d’un site professionnel le coup de coeur est dans le jardin.

Si tout cela vous semble un peu trop long ou complexe à créer, il est possible de réaliser un potager surélevé ( en carré ou sur buttes ). En apportant alors un mixe de terre adaptée, vous vous affranchissez des contraintes de la nature de votre sol. Pour les régions ventées, un mur de la maison ou une haie sont parfaits pour préserver vos légumes ; à défaut, planifiez d’installer en bordure du potager des groseilliers, des framboisiers, ou bien encore du romarin ou autre laurier-sauce qui feront un rempart gourmand fort agréable. Il est toutefois bonne de ne pas oublier que, peu importe les astuces que l’on met en place pour remédier aux « imperfections » de la nature, il est encore un plus d’essayer de s’adapter à son centre ; un sol argileux conviendra plutôt aux betteraves, aux épinards, aux fèves ou aux poirées tandis qu’une terre à tendance sablonneuse verra s’épanouir asperges, pastèques, pommes de terre et autres scorsonères. Et si le persil ne suis pas d’accord les sols trop acides, l’oseille se détourne de ceux qui sont trop calcaires. ainsi, si le soleil n’illumine qu’avec parcimonie votre potager, choisissez les laitues, les épinards, les cèleris, ou tout autre légume se plaisant à l’ombre ou à la mi-ombre. Faire son potager c’est accepter d’y consacrer un peu ( voire plus ! ) de son temps. Pour ne pas le perdre et se retrouver submergé par une besogne qui vous dépasse, il est préférable de bien dimensionner son projet avant de le engager.

Selon la saison et l’espèce, les plantations n’ont pas besoin de la même quantité d’eau. En hiver, l’arrosage se doit d’être éloigné alors qu’en été, il faut le faire tous les jours, une fois la chaleur moins forte de préférence. afin de savoir si votre plante a besoin d’être arrosée, il est necessaire de l’observer. Le jardinage est une façon de communier avec ses plantes. Plus vous vous en occuperez, mieux elles se mettront. Pour les fleurs intérieures, la meilleure manière de les arroser est d’enlever le cache-pot et de les arroser directement dans l’évier. Attendez que l’excédent d’eau soit parti avant de remettre le cache pot. Pour les extérieures, faites attention à ce que le terreau soit sec avant d’arroser à nouveau. Ajouter du paillis au pied de la plante lui permet de entretenir suffisamment d’eau. Si malgré toutes nos astuces pour arroser vos plantations elles sont mal en point, c’est que vous avez sûrement commis l’une de ces erreurs… fort heureusement, nous avons une astuce pour leur donner un coup de Peps. Pour pousser, les plantations ont besoin de nutriments. Elles les puisent dans la terre. Il est ainsi particulièrement important de sélectionner le terreau en fonction de la race de la plante et de son statut ( en pot, dans le potager, dans la terre… ). Le laurier-rose requiert un terreau riche alors que l’hortensia nécessite de la terre de bruyère.

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