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Poursuivons notre carrure de contenus textuels sur les références de la culture populaire japonaise. Après les dix films d’animation japonais indispensables et les 8 séries japonais qu’il faut avoir regardés, place aux manga papier. Ce genre asiatique directeur, dont les accents technologiques remontent essentiellement au niveau des années 1950, n’a été fait en France qu’à la fin des années 1980 / départ des années 1990. Depuis, des centaines de films ont été traduites, mais peu de titres ont laissé leur marque dans l’histoire ( voir le produit Le stase du l’appli power japonais ). J’ai par conséquent décidé de vous soumettre huit fantaisie chocs de manga qui me paraissent avoir typique l’esthétique à perpétuité.Pour repérer une marque des grands mangas de l’univers, il faut submerger en plein milieu du XIIe siècle et déplacer les quatre rouleaux d’emakimono intitulés ‘ Chojujingiga ‘. On y voit des animaux qui adoptent des démarche de l’homme pour particulièrement s’entrainer au sumo. L’humour est de ce fait déjà la exercice première du manga. Cependant, on ne parle pas encore de manga. Il faudra être convaincu la fin du XVIIIe siècle pour que l’appellation se généralise, particulièrement grâce aux modèles prochains : Mankaku zuihitsu ( 1771 ) de Kankei Suzuki, Shiji no yukikai ( 1798 ) de Kyōden Santō ou Manga hyakujo ( 1814 ) de Minwa Aikawa. En 1814, Katsushika Hokusai présente son Hokusai Manga, une oeuvre où il relate la vie du peuple à Edo. dans le cas où le terme manga est de ce fait fait preuve de manière régulière, sa définition est plutôt multiple. Selon les différentes traductions, le manga est tellement une photo impuissant, une diagramme fantasque voire une ébauche. Depuis le 20e siècle l’appellation est synonyme de bande dessinée après l’afflux gros d’albums au japon.Ainsi, on écarte du champ de ce texte des œuvres, bien dominantes, sous prétexte que les peintures rupestres, la paravent de Bayeux, les rouleaux d’Hokusai ou les gravures de William Hogarth, sans à ce titre oublier leur result, au moins indirecte, sur la bande dessinée. Il en est de même pour les latte, les paysages satiriques et de presse qui sont fréquemment confondus avec de la bande fanzine. Le but n’est pas ici de comprendre en détail de quelle façon celle-ci est née mais de poser quelques jalons historiques afin d’en avoir une meilleure faiblesse.Le type Seinen peut s’enorgueillir de regrouper des titres rentrés dans l’histoire de la production célèbre et d’avoir impacté vite les imagination d’une génération amateur de avance et de romans d’anticipation. Les mangas estampillés Seinen développent leurs fortune le plus souvent près de la notion d’être capable de. Des œuvres comme Akira, Gunmm et Ghost in the Shell critiquent le principe des organisations modernes soumises à des atouts politiques ou privés calculant à asservir l’humanité. Leurs héros, humains ou cyborgs, luttent avec découragement pour récupérer des références acceptables. Même s’ils sont uniques, Monster et 20th Century Boys s’interrogent sur la place de la personne au centre de l’univers. Le 1er explore les excès de la science, le dernier analyse l’influence des gourous durant les périodes de disette sociale. Pour améliorer ces grands sujets « Seinen » de manière enrichissante, l’éditeur Kurokawa propose sous la sélection Kurosavoir une multitude de mangas polissant les grands pensées philosophiques, historiques et littéraires. La plantation manga n’en finit pas de nous toucher.Elevée à la bande-dessinée franco-belge, la France a du mal à prendre le pourtour du manga. Au début des années 70, c’est dans le magazine expert sur le combat Budo Magazine Europe qu’il faut d’aller pour révéler de courtes dispute de manga traduites. Le fanzine Cri qui tue fait aussi la part belle au manga en prouvant notamment Golgo 13. L’un des premiers déclics vient du succès de l’animé Candy qui permettra des éditeurs a trouver le manga et à le publier. Succès relâché ! Les années 80 seront une gamme de tentatives de avancée du manga en France, mais inutilement et cela malgré la quantième de Mangazone, le premier fanzine d’information sur la bande dessinée japonaise.La ultime certaine catégorie concerne les Seinen. Destiné à un public plus âgé et assez maritime, on y raconte des langages beaucoup plus mauvaises, la pollution, cet guerre, la entreprise et tout ce que cela entraine, dystopies, inimitié, etc. On y traite davantage des dérives des outils existants, de la technologie, de la technique, de la charte et on n’hésite pas à agir le sexe, la violence et le trash, ou à pousser l’écho au plus loin pour faire avancer l’histoire et résister le lecteur en terme. C’est également l’une des causes digérant que les styles graphiques sont le plus souvent bien plus proches du photo-réalisme et qu’on ne rechigne pas à narrer beaucoup les théâtres, les scènes trash, et les personnages.
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